En Suisse, environ un tiers de la population fume et une grande partie de ces personnes sont dépendantes. Le tabagisme est à l’origine d’une nette augmentation du risque de cancer, en particulier de cancers de la sphère ORL et de cancers du poumon (risque relatif de 12 à 28). Par ailleurs, les fumeurs ont un risque relatif deux fois plus élevé de développer des maladies cardiovasculaires. Combiné à une prédisposition génétique (déficit en alpha-1-antitrypsine), le tabagisme est responsable de près de 90% de toutes les bronchopneumopathies chroniques obstructives (BPCO). Il existe une relation dose-effet claire entre la fumée de cigarette et la BPCO. Au stade précoce de la BPCO, le sevrage tabagique permettrait d’empêcher la progression de la maladie. En Suisse, un décès sur sept est la conséquence du tabagisme.
Les arguments suivants peuvent renforcer la volonté des patients d’arrêter de fumer:
moins de maladies cardiovasculaires et donc, moins d’infarctus du myocarde, d’accidents vasculaires cérébraux et de démences. Déjà 24 heures après l’arrêt du tabagisme, le risque d’infarctus du myocarde diminue de façon sensible!
plus tard, le risque de cancer du poumon et le risque de diabète diminuent également
le goût et l’odorat s’affinent
la toux et les problèmes respiratoires s’améliorent, au même titre que les performances physiques
les vêtements, l’air expiré et les cheveux ne sentent plus la fumée; la peau et les dents reprennent une coloration normale
l’espérance de vie augmente, souvent de 10 ans et plus!
l'économie d'argent
Les interventions brèves pour le sevrage tabagique au cabinet médical ont une efficacité démontrée. Le programme «Coaching Santé» facilite l’arrêt du tabagisme pour les personnes désireuses d’y parvenir.
Liens et outils:
Un excellent guide pour l’arrêt du tabagisme avec prise en compte de la motivation, disponible en plusieurs langues: www.theipcrg.org, cliquer sur «treat patients» puis, dans la rubrique «tobacco»: «desktop helper helping patients quit smoking»
Remarquable brochure «Mieux vivre sans fumée» disponible gratuitement auprès de la Fondation Suisse de Cardiologie: www.swissheart.ch/index.php?id=510&L=1, taper «fumée» dans le masque de recherche
En Suisse, environ un tiers de la population fume et une grande partie de ces personnes sont dépendantes. Le tabagisme est à l’origine d’une nette augmentation du risque de cancer, en particulier de cancers de la sphère ORL et de cancers du poumon (risque relatif de 12 à 28). Par ailleurs, les fumeurs ont un risque relatif deux fois plus élevé de développer des maladies cardiovasculaires. Combiné à une prédisposition génétique (déficit en alpha-1-antitrypsine), le tabagisme est responsable de près de 90% de toutes les bronchopneumopathies chroniques obstructives (BPCO). Il existe une relation dose-effet claire entre la fumée de cigarette et la BPCO. Au stade précoce de la BPCO, le sevrage tabagique permettrait d’empêcher la progression de la maladie. En Suisse, un décès sur sept est la conséquence du tabagisme.
Les arguments suivants peuvent renforcer la volonté des patients d’arrêter de fumer:
Les interventions brèves pour le sevrage tabagique au cabinet médical ont une efficacité démontrée. Le programme «Coaching Santé» facilite l’arrêt du tabagisme pour les personnes désireuses d’y parvenir.
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