Le surpoids est souvent qualifié d’«épidémie silencieuse». En Suisse, entre 1992 et 2012, la proportion des personnes en surpoids (indice de masse corporelle [IMC] >= 25 kg/m2) est passée de 30% à plus de 40% et la proportion de personnes obèses (IMC >= 30 kg/m2) de 6% à 11% pour les hommes et de 5% à 9% pour les femmes, avant tout dans la tranche d’âge des 15-25 ans. Au total, 31% des Suisses sont en surpoids et 10% sont obèses. Le surpoids et l’obésité augmentent avec l’âge et ils sont négativement corrélés avec le niveau de formation et les revenus (source: Office fédéral de la statistique).
En cas d’IMC supérieur à 25 kg/m2, de premières répercussions délétères sur la santé sont déjà mesurables et en cas d’IMC supérieur à 30 kg/m2, ces répercussions deviennent flagrantes: le risque de maladies cardiovasculaires (y compris accident vasculaire cérébral, démence et infarctus du myocarde) augmente au même titre que le risque de diabète, de problèmes articulaires et de cancers. Associé à d’autres facteurs de risque, le surpoids prononcé raccourcit l’espérance de vie de plusieurs années. S’y ajoutent des problèmes psychiques liés à une stigmatisation et à une plus faible estime de soi par rapport aux personnes ayant un poids normal.
Les quatre piliers de la réduction du surpoids ou du maintien d’un poids corporel sain sont:
l’alimentation (choix des aliments, comportement alimentaire et bilan calorique)
l’activité physique (combustion énergétique, manière dont l’organisme exploite les sources d’énergie)
le comportement (nourriture comme récompense, manger par frustration, manger de manière démesurée, comportement propre à la culture alimentaire et sportive)
la chirurgie (bariatrique) et les médicaments, dans des cas précis
Un programme structuré, tel que le «Coaching Santé CMPR», permet d’aborder de manière systématique et adaptée au patient les trois premières variables et avant toute chose, de créer les conditions nécessaires pour y parvenir, comme par ex. la motivation et la conviction de pouvoir changer quelque chose.
Association suisse Obésité de l'enfant et de l'adolescent: www.akj-ch.ch
Fachstelle Prävention Essstörungen Praxisnah (bureau de prévention des troubles alimentaires de l’Inselspital de Berne): www.pepinfo.ch avec dépliant de sensibilisation
Le surpoids est souvent qualifié d’«épidémie silencieuse». En Suisse, entre 1992 et 2012, la proportion des personnes en surpoids (indice de masse corporelle [IMC] >= 25 kg/m2) est passée de 30% à plus de 40% et la proportion de personnes obèses (IMC >= 30 kg/m2) de 6% à 11% pour les hommes et de 5% à 9% pour les femmes, avant tout dans la tranche d’âge des 15-25 ans. Au total, 31% des Suisses sont en surpoids et 10% sont obèses. Le surpoids et l’obésité augmentent avec l’âge et ils sont négativement corrélés avec le niveau de formation et les revenus (source: Office fédéral de la statistique).
En cas d’IMC supérieur à 25 kg/m2, de premières répercussions délétères sur la santé sont déjà mesurables et en cas d’IMC supérieur à 30 kg/m2, ces répercussions deviennent flagrantes: le risque de maladies cardiovasculaires (y compris accident vasculaire cérébral, démence et infarctus du myocarde) augmente au même titre que le risque de diabète, de problèmes articulaires et de cancers. Associé à d’autres facteurs de risque, le surpoids prononcé raccourcit l’espérance de vie de plusieurs années. S’y ajoutent des problèmes psychiques liés à une stigmatisation et à une plus faible estime de soi par rapport aux personnes ayant un poids normal.
Les quatre piliers de la réduction du surpoids ou du maintien d’un poids corporel sain sont:
Un programme structuré, tel que le «Coaching Santé CMPR», permet d’aborder de manière systématique et adaptée au patient les trois premières variables et avant toute chose, de créer les conditions nécessaires pour y parvenir, comme par ex. la motivation et la conviction de pouvoir changer quelque chose.
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